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Guy
Cousin

Il faut imaginer le noir non. Non, pas le noir satin et poussière à la fois des funérailles grandiloquentes, plutôt un noir opaque, quelque chose au goût de craie rance, le noir de l'oubli du dédain et de l'inexplicable. Espace vide, noirceurs crues, résurrectoire des corps, mais parfois un soupçon nuageux de couleur. Comment dire cette obsession qui juxtapose, dans le cadre strict des lois du genre, torsions de hanches, flexion de bras, cuisses démesurées, regards vides. Le corps se dédouble aux humeurs en délire se juxtaposent les surfaces torturées et exacerbées qui n'en auront jamais fini de dire que l'homme est inexprimable.

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